Ah m.... pourtant je voyais bien Carmet pour la deuxième.
Bon, je réessaye :
1) Dupontel
2) Nietzsch (sans trop de convictions)
En parlant d'alcoolisme et voilà pourquoi je proposais M. Morgan, j'ai lu ça quelque part :
"- J'ai bu parce que certains soirs, je n'avais pas le courage de rentrer chez moi. C'est une maladie de boire, une maladie terrible! Les tuberculeux apitoient, les infirmes bouleversent, les alcooliques font rires... Ils réclament la pitié, on les méprise... Ils quêtent l'amour, on les enferme au cabanon... C'est pratique... C'est discret... C'est surtout plus simple que de se pencher sur leur détresse et d'essayer de les comprendre... De comprendre qu'ils souffrent, oui, qu'ils souffrent et qu'ils ne le font pas exprès. Je les connais, je suis des leurs... On parle souvent de l'ivrognerie prolétarienne ou d'un alcoolisme bourgeois... Qu'est ce que les mots prolétariat et bourgeoisie.... Qu'est ce que les mots, quels qu'ils soient, peuvent encore signifier à ce palier de l'enfer?... L'alcoolique, un taré? Oh non!... Un mal payé parfois... Un mal logé souvent... Un mal aimé toujours!"